La première fois que j’ai vu Peau d’Âne, le film de Jacques Demy, je ne devais pas avoir 8 ans. C’était dans un « pays lointain », chaud et méditerranéen, et j’ai découvert cet univers qui a toujours été présent depuis, plus ou moins consciemment, dans mon imaginaire et dans mes créations. Habituellement, nous avions droit, pour les anniversaires des uns ou des autres, aux projections à la maison, « projections privées » ou « home cinéma » dirait-on maintenant – quand j’y repense, quel luxe !- et sur les bobines, on lisait « Crin -Blanc » , « le Ballon rouge » ou « la petite fille et le fantôme ».
Nous n’allions pas au cinéma, et les émissions pour enfants à la télévision ne passaient que pour les fêtes. C’était donc un grand évènement d’aller dans un vrai cinéma et le film est resté dans ma mémoire pour son histoire, son esthétique mais aussi pour toutes ces circonstances qui en faisaient un moment inoubliable.
dimanche 29 avril 2007
Celles qui m’enchantent
mardi 24 avril 2007
Celle qui m’a d’abord intriguée
J’ai une habitude, celle de me faire une idée plus ou moins précise d’un film d’après son affiche. Je ne lis ni n’écoute les critiques. Ou très peu.
Lorsque j’ai vu pour la première fois cette affiche, je n’ai pas regardée, ma rétine l’a imprimée sans que je réalise de quoi il s’agissait, mais déjà, j’avais retenu ce visage en noir et blanc, et je pensais à une exposition de photos, une expo qui me tentait sans que je sache ce qu’il en était vraiment.
Je suis allée voir le film.
Dans une grande salle parisienne.
Sans connaître le texte de Duras.
L’affiche m’avait intriguée. Le film m’a envoûtée.
J’en suis sortie profondément touchée. Il mettait des images sur des mots que je ne savais pas représenter. Sur des souvenirs entendus. Il me parlait de Duras, mais en filigrane je La devinais, Elle, celle qui m’avait raconté, qui vivait au soleil parmi les fleurs et les grands chiens, qui buvait du thé fumé et se vêtait de pantalons noirs et fluides. ..
Pour toutes ces raisons et d’autres encore plus personnelles, ce film figure dans ma «discothèque idéale».
Lorsque j’ai vu pour la première fois cette affiche, je n’ai pas regardée, ma rétine l’a imprimée sans que je réalise de quoi il s’agissait, mais déjà, j’avais retenu ce visage en noir et blanc, et je pensais à une exposition de photos, une expo qui me tentait sans que je sache ce qu’il en était vraiment.
Je suis allée voir le film.
Dans une grande salle parisienne.
Sans connaître le texte de Duras.
L’affiche m’avait intriguée. Le film m’a envoûtée.
J’en suis sortie profondément touchée. Il mettait des images sur des mots que je ne savais pas représenter. Sur des souvenirs entendus. Il me parlait de Duras, mais en filigrane je La devinais, Elle, celle qui m’avait raconté, qui vivait au soleil parmi les fleurs et les grands chiens, qui buvait du thé fumé et se vêtait de pantalons noirs et fluides. ..
Pour toutes ces raisons et d’autres encore plus personnelles, ce film figure dans ma «discothèque idéale».
vendredi 20 avril 2007
Un week-end à Lisbonne
Les très beaux clichés de la photographe Hélène Deroux, ici Lisbonne, confirment mon envie d’aller passer quelques jours dans cette capitale du sud de l’Europe.
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Tiroirs : ailleurs, pas encore réalisés
mardi 17 avril 2007
Celles qui vous dévisagent

Les assiettes visages Fornasetti.
Mais oserais-je les utiliser ?
Je n’aime pas les assiettes qui ornent les murs.
Elles ne pourraient pas non plus être exposées dans une vitrine, j’estime que les vitrines ne sont bonnes que pour les musées… ou les bibelots de poupées.
Je les utiliserai donc.
Mais oserais-je les utiliser ?
Je n’aime pas les assiettes qui ornent les murs.
Elles ne pourraient pas non plus être exposées dans une vitrine, j’estime que les vitrines ne sont bonnes que pour les musées… ou les bibelots de poupées.
Je les utiliserai donc.
Tiroirs : beaux et utiles, pas encore réalisés
samedi 14 avril 2007
Arachnéenne
Ma rencontre avec cette chaise Spine date d’il y a plus de dix ans, lors d’un voyage au Vietnam.
Elle trônait dans une maison fraîche, devant une porte en fer forgé à doubles battants qui divisait l’espace entre l’entrée et le salon, sur le sol en parquet laqué noir. La dentelle métallique de la chaise, graphisme aux jours de Venise jouait avec les ombres du feuillage régulièrement découpé, les grandes feuilles souples et aiguës des plantes trônant dans des céramiques émaillées de bleu profond.
Dans le salon, le piano laqué de noir lui aussi, égrenait ses notes sous les doigts hésitants d’une petite fille de huit ans.
Le ventilateur brassait l’ait tiède et donnait une illusion de fraîcheur humide.
Dès que j’emménage dans plus grand, vous avez le feu vert… Ce serait très joli aussi sur des tomettes anciennes…
Elle trônait dans une maison fraîche, devant une porte en fer forgé à doubles battants qui divisait l’espace entre l’entrée et le salon, sur le sol en parquet laqué noir. La dentelle métallique de la chaise, graphisme aux jours de Venise jouait avec les ombres du feuillage régulièrement découpé, les grandes feuilles souples et aiguës des plantes trônant dans des céramiques émaillées de bleu profond.
Dans le salon, le piano laqué de noir lui aussi, égrenait ses notes sous les doigts hésitants d’une petite fille de huit ans.
Le ventilateur brassait l’ait tiède et donnait une illusion de fraîcheur humide.
Dès que j’emménage dans plus grand, vous avez le feu vert… Ce serait très joli aussi sur des tomettes anciennes…
mardi 10 avril 2007
Celle qui jardine
Je voudrais… un cabas en toile de jute de La Marelle, pour aller faire mes courses.
Plus particulièrement celui aux petits pois, radis et poireaux.
Plus particulièrement celui aux petits pois, radis et poireaux.
EDIT du 26 avril 2007: J'ai craqué.... Chez Lillibulle, je me suis offert ce cabas sur lequel je lorgnais depuis bien plus longtemps que je ne l'ai avoué! Elle doit recevoir, et avant le mois de juin, les petites versions...
Tiroirs : beaux et utiles, dehors
samedi 7 avril 2007
Bloom
Je voudrais… un abonnement à Bloom.
Ou au moins un exemplaire du magazine.
« Bloom est un magazine étrange et fascinant, dont la discrétion, la rareté et le coût n’ont d’égal que la beauté époustouflante de ses photos de fleurs, véritables œuvres d’art, et la bouffée d’idées qu’il inspire. »
Via Good news
Ou au moins un exemplaire du magazine.
« Bloom est un magazine étrange et fascinant, dont la discrétion, la rareté et le coût n’ont d’égal que la beauté époustouflante de ses photos de fleurs, véritables œuvres d’art, et la bouffée d’idées qu’il inspire. »
Via Good news
Tiroirs : lectures, pas encore réalisés
jeudi 5 avril 2007
Fleuris
Je voudrais… un set jardinage/bricolage de chez Plumo par exemple, très «fille», mais peut-être pas bleu ciel, ce n'est pas vraiment ma couleur préférée.
Peut-être faudrait-il penser également à une boite à outils pratique : ce serait merveilleux de remplacer l’affreux sac en plastique troué du BHV…
Via Le même monde
Tiroirs : beaux et utiles, pas encore réalisés
dimanche 1 avril 2007
Poisson volant!

Les illustrations sont tirées du dossier de presse de l’exposition sur les cerfs-volants chinois qui se tient au château de la Tour d’Aigues dans le Vaucluse, du 6 avril au 16 septembre 2007.
Tiroirs : juste pour décorer, pas encore réalisés
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