Il y a quelques années, j’étais allée acheter deux poissons rouges, au marché aux fleurs de l’île de la cité à Paris. Ils étaient charmants, ces poissons. Je leur avais choisi également une belle plante aquatique pour leur faire un peu de verdure et pour varier leur paysage. Oui, c’est vrai, un aquarium rond, c’est très joli, mais j’avais un peu l’impression, en tentant de me mettre à leur place, que ça devait être « Waterloo, morne plaine ».
Ça a été Waterloo morne plaine.
Ça a été Waterloo morne plaine.
Deux jours plus tard, je retrouvais Jim le ventre en l’air. Et sans équivoque, ce n’était pas un poisson savant, préparant un ballet aquatique dans le genre de ceux d’Esther Williams. Non. Mort. Dead. Muriò. Tod. Morto.
Fin de l'Acte 1 et mort d'un poisson pas voyageur.
Acte 2.
Jules se retrouve donc tout seul dans son aquarium. (Qu’est ce qui m’a pris de les appeler comme ça ?...)
Encore deux jours de plus, ou peut-être une toute petite semaine. Il décida de suivre le même chemin que son compagnon.
Je crois qu’il est mort noyé.
Je ne plaisante pas : mon hypothèse d’apprenti Sherlock Holmes est que la plante avait bouffé tout l’oxygène.
Ou pas.
Jules se retrouve donc tout seul dans son aquarium. (Qu’est ce qui m’a pris de les appeler comme ça ?...)
Encore deux jours de plus, ou peut-être une toute petite semaine. Il décida de suivre le même chemin que son compagnon.
Je crois qu’il est mort noyé.
Je ne plaisante pas : mon hypothèse d’apprenti Sherlock Holmes est que la plante avait bouffé tout l’oxygène.
Ou pas.
Fin de l'histoire.
Résultat : je n’ai plus de poissons rouges, et je verrais bien cet aquarium retrouver des locataires rapidement.
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